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Poezii Rom�nesti - Romanian Poetry

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Cloison
poesia [ ]

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
di [Rodica_Draghincescu ]

2004-12-01  | [Questo testo si dovrebbe leggere in francais]    |  Inserito da lucia sotirova




...justement à l’intérieur de ce manque de volonté,
le texte est dans le sexe )
ses lettres ont des échos, pas d’images.
Elles hurlent TOI, LE FAUVE ! LA FEMELLE
J’enfonce mes crocs dans leurs formes
Je les fais traîner jusqu’au bout de la signification
La difficulté passe pour de l’investigation, péril,
amour,
BONSOIR !
Pendant la journée, je vends des mètres et des
kilomètres de solitude
Sous le nom d’un soi-disant papy,
Les théories poétiques peuvent être envoyées au
diable !
Vive l’idée (de remplir un poème de seins, de
cuisses, d’organes, de directions, de distances)
qui convient au Repos, au Néant, à l’Éphémère !
Le texte s’élève au-dessus de l’espace clos :
Il hurle affreusement comme une jungle pénétrée
par l’orage
Au niveau du métabolisme de l’image
Ce sont toujours les sons qui font du rêve
Un cauchemar parlant (les distances ? les
directions ? les blancs ? !)
Comment compter, établir les coïncidences ?
Mon texte ressemble
A des microbes virils qui font de la gymnastique
Pour avoir l’envie de nous écraser ? !
Au fur et à mesure que ma conscience s’élève et grandit,
Je me sens plus mal à l’aise, lorsque les Adam
Me recommandent aux Adam :
POÉTESSE, c’est-à-dire, ÈVE, AMANTE, notion
érotique
Généralement cachée dans le langage
Et parce que pour moi, la vérité est une autre,
Le quasi amour rappelle la physique du fauteuil à
bascule
Comme naît la femme ? Autour d’elle !
Quelle dimension de son hurlement entre la
question
Et sa résolution, préférez-vous ?
Dans cet espace rigide, où je mesure encore
Les pas d’autrui ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ...
fulgurants, fugitifs, les coqs se battent, dehors, pour
un brin d’herbe ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ...
... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... de l’autre côté le corps
creuse son fossé,
une conscience échouée dans la boue divine
Est-ce que je m’échapperai ? Je nage ? J’arriverai ?
Me voici, le porte-parole du FAUVE-EN-LIBERTÉ
(amant, ennemi, parent, étranger)
Moi ? Je m’appelle TU.
(C’est bien ici que l’illusion rompue devient
résistance)
Plus le fauve est doux (la femelle apprivoisée),
plus l’image de son utilisation sera féroce, dans le langage, c’est-à-dire ?
dans le langage bien sûr
Et parce que pour moi, TOI = LE FAUVE, depuis
toujours,
Le QUASI-AMOUR n’est que l’alchimie d’un certain
point
Tu seras là, si tu t'arrêtes là, mais si tu t’arrêtais,
tu n’y serais plus ! plus le point ressemble au saut
à la perche, plus la position du saut rappelle
ACHILLE, le légendaire,
En quel langage ? Tout en écrivant avec le corps,
Cela arrive souvent chez les solitaires :
De tomber amoureux d’une muraille, d’une
pendule ...
C’est (BONSOIR !) bien moi le maçon de cet espace
bizarre !
Rien de plus légitime, en pratiquant l’écriture dans la
douleur
Écoutez ce mmmmmmmrnmnmmmgggggggrrrrmgr
(grognement parcouru)
Comment obtenir l’autorisation de dévorer mon
texte
(mon client ? mon amant ?) ? La tête en bas, sans
faute, jusqu’à (vous pouvez distinguer une série d’actes
indivisibles)
MOI, JE, TOI, TU (changement de questions dans
tous les sens qui arrivent et que j’accepte comme
désirs, envies, désiiiiirs !)
Après, je prends la fuite. Quand je cours, je juge
parfaitement. Si cet instant absurde me rend des
avantages sur vous, excusez-moi, mais en courant
tout droit, je me sens exceptionnellement ....
Cloison à gauche,
Cloison derrière,
Muraille à droite,
Muraille à gauche ...
(où ES-TU, ZÉNON D’ÉLÉE ? ? ? ? ?)
En tuant les murailles, les murs, les cloisons, les
parois, je te cherche, mon amour, dans ces
murmures,
Dans tout ce bla-bla .... je te cherche
Je te garde, je ne trompe pas l’absurdité ni le sens
des souvenirs rapiécés
(Comment serait-il possible que celui qui bouge
puisse coïncider avec celui qui ne bouge pas ? !)
Le manque de lucidité me fait tourner la tête :
IL N'Y A QUE MON ÉCRITURE,
TOUJOURS PRÊTE A SE PROCURER DES VICTIMES


[Extrait du recueil 'Fauve en liberté', Autres Temps et Écrits des Forges, 2003]

http://www.draghincescu.de/french/fra-texts_01.htm




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