agonia italiano v3 |
Agonia.Net | Regolamento | Mission | Contatto | Registrati! | ||||
Articolo Comunità Concorso Saggistica Multimedia Personali Poesia Stampa Prosa _QUOTE Sceneggiatura speciale | ||||||
|
||||||
agonia Post Consigliato
■ Geremiade
Romanian Spell-Checker Contatto |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2015-02-22 | [Questo testo si dovrebbe leggere in francais] | Inserito da Guy Rancourt C’était un rêve. – Devant moi, à l’infini, S’étendait la mer blême. La plage était vide. La tempête a déchargé sa colère, le jour paraît gris, Des traînées de nuages passent au-dessus des terres. C’est alors que je t’ai vue. Tu étais au sommet de la tour, Comme si tu regardais dans le vaste lointain, Comme s’il y avait au loin, caché par la tempête, Un beau pays, le pays où tu es chez toi. Tu pensais à moi. Ton visage était en pleurs. Les joues pâles, l’œil ouvert et farouche, Comme si tu cherchais dans la lumière jaune du matin Une image tendrement aimée, perdue depuis longtemps. Las ! le vent traversait caressant ta chevelure, Comme le vent d’automne traverse les arbres aux fleurs fanées, Avec au-dessus la troupe grise des nuées, Ton pays à tes pieds ! – C’était un rêve. (François Mathieu, Hermann Hesse, poète ou rien, Paris, Calmann-Lévy, 2012, pp. 107-108)
|
||||||||
Questo è l'Olimpo della Lettertura, della Poesia, e della Cultura. Se hai piacere di partecipare alle nostre iniziative scrivi altrimenti appaga la tua conoscenza con gli articoli, la saggistica, la prosa, la poesia classica e/o contemporanea oppure partecipa ai nostri concorsi. | |||||||||
La riproduzione di qualsiasi materiale che si trova in questo sito, senza la nostra approvazione, Ă© assolutamente vietata
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Politica di condotta e confidenzialitĂ