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Attendre que la Nuit...
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Coeur
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Descente de Géants
: Poesia 2004-11-15 (16821 visite)
Encore frissonnant...
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Je cherche autour de moi plus d’ombre et de douceur
: Le forçat innocent Poesia 2004-12-20 (11821 visite)
Les amis inconnus
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Les chevaux du Temps
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Les yeux
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Livrez vos mains aux miennes...
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L'allée
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L'Arbre
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L’âme
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Ne tourne pas la tête...
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Nocturne en plein jour
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Prière à l'inconnu
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Singurătate
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Solitude
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Supplique
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Un poète
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Vivante ou morte ...
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Vivre encore
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Whisper in Agony
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Biografia Jules Supervielle
Jules Supervielle (1884-1960)
Poète, romancier et dramaturge français, auteur d\'une poésie très personnelle, hantée par l\'angoisse de l\'absence et le sens du mystère.
Né à Montevideo, en Uruguay, issu d\'une famille de grande bourgeoisie, orphelin huit mois après sa naissance, il fut élevé par son oncle et sa tante, et partagea sa vie entre la France et l\'Amérique du Sud. Il se maria en 1904, et fut père de six enfants. Tandis que ses premiers poèmes sont d\'une facture assez traditionnelle (Brumes du passé, 1900 ; Comme des voiliers, 1910), la fréquentation de Jules Laforgue le poussa à cultiver l\'humour (Poèmes de l\'humour triste, 1919). Il se libéra de toute influence à partir de Débarcadères (1922), le premier de ses recueils en vers libres, où se retrouve toutefois le goût pour les voyages qu\'il partageait avec Valéry Larbaud.
Après un roman fantastique (L\'Homme de la pampa, 1923), Supervielle explora, dans sa poésie, le fond le plus obscur de sa personnalité (Gravitations ; Le Voleur d\'enfants ; Le Forçat innocent ; Les Amis inconnus ; La Fable du monde). Il publia aussi des récits (L\'Enfant de la haute mer ; Boire à la source), écrivit pour le théâtre (La Belle au bois). La maladie le retint en Uruguay pendant la guerre, qui lui inspira des poèmes âpres et mystiques (1939-1945 ; La nuit). Sa poésie devint ensuite plus facile d\'accès et s\'inspira de contes mythologiques (Robinson ; Shéhérazade).
Il obtint le prix des Critiques en 1949, pour Oublieuse mémoire, et celui de l\'Académie française, pour l\'ensemble de son œuvre, en 1955. Après quelques recueils moins inventifs, il trouva des accents nouveaux dans le Corps tragique (1959), sorte de méditation sur la mort. Dans ses poèmes, la rêverie personnelle atteint souvent une dimension cosmique,
« Supervielle, Jules », Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2000. © 1993-1999 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
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